L’augmentation mammaire par prothèses est une intervention de chirurgie esthétique qui consiste en la mise en place de prothèses mammaires (ou implants mammaires) sous la glande mammaire préexistante visant à corriger une hypoplasie mammaire qui peut être soit constitutionnelle, soit suite à une grossesse ou une perte de poids. Le Docteur Franck Jorquera étant un expert dans l’augmentation mammaire à Montpellier, vous accompagne, vous conseille, vous informe, vous suit dans toute la procédure jusqu’à l’obtention des résultats satisfaisants.
Principes d’une Augmentation Mammaire
L’implantation des prothèses se fait par différentes voies: D’abord par la voie axillaire, ensuite par la voie hémi-aréolaire inférieure ou sous mammaire. Les implants seront placés devant ou derrière le muscle pectoralis major (grand pectoral) voire en dual plane (le haut de la prothèse sous le muscle, le bas devant). La technique la plus appropriée et adaptée sera décidée au moment de la consultation médicale et est fonction de l’anatomie de la patiente et de ses souhaits concernant la position des cicatrices.
La pose de prothese mammaire montpellier ne s’effectue, sauf exception, que chez des patientes majeures. Les prothèses utilisées sont des prothèses pré remplies en gel de silicone.
Cette chirurgie esthétique ne bénéficie pas d’une prise en charge partielle de l’assurance maladie sauf dans certains cas très restrictifs soumis à une autorisation préalable.
Le Déroulement d’une augmentation mammaire par prothèses
Cette augmentation mammaire se déroule en chirurgie ambulatoire sous anesthésie générale. Dans certains cas, une anesthésie locale est suffisante en accord avec l’anesthésiste et le chirurgien. L’intervention dure 1h30 environ. Les douleurs post opératoires sont minimes puisqu’une anesthésie peropératoire par injection d’un anesthésiant est pratiquée pendant l’intervention par le chirurgien.
L’augmentation mammaire par prothèses, pour qui?
La prothèse mammaire s’adresse aux patientes en manque de volume mammaire dont l’origine est physiologique (hypoplasie mammaire), dus à un développement insuffisant de la glande mammaire ou acquise à la suite d’une grossesse ou d’un régime amincissant important.Cette chirurgie esthétique permet d’augmenter le volume des seins bien-sur en tenant compte de la morphologie de la patiente.
Quelles cicatrices?
Comme toutes les chirurgies, l’augmentation mammaire par prothèses nécessite une cicatrice. Celle-ci est positionnée de façon la plus discrète possible, le plus souvent sur le sein. Il existe 3 types de cicatrices en cas de mise en place des prothèses mammaires:
- Sous le sein (ou cicatrice sous mammaire) située dans le sillon sous le sein :
- Autour de l’aréole (ou cicatrice péri aréolaire)
- Sous l’aisselle (ou cicatrice axillaire)
La voie sous-mammaire
Voie sous-mammaire (ou cicatrice sous le sein), avec incision placée dans le sillon situé sous le sein, elle s’adresse le plus souvent aux patientes qui ont un sillon déjà marqué.
La cicatrice d’une augmentation mammaire par prothèses présente des avantages et des inconvénients : le choix se fait donc en concertation avec la patiente. Le Docteur Franck Jorquera utilise le plus souvent une incision située au niveau du mamelon ou sous le sein sauf lorsque la mise en place de la prothèse mammaire est associée à un lifting du sein.
La voie hémi-aréolaire inférieure
Voies aréolaires, avec incision arrondie à la partie inférieure de l’aréole ou une incision horizontale contournant le mamelon par-dessous. Elle s’adresse aux patientes sans sillon marqué et chez qui il faut effectuer des modifications de la position ou de la taille des aréoles.
La voie axillaire
Voie axillaire, avec incision sous le bras, (dans l’aisselle) elle s’adresse à tous les autres cas.
Lors de la consultation préopératoire, le Docteur Franck Jorquera vous conseillera sur la cicatrice la plus adaptée à votre morphologie, tout en prenant en compte vos souhaits.
En cas de ptose mammaire
Lorsque une augmentation mammaire par prothèses est retenue, il y a des endroits précis où placer des implants : Ces emplacements sont essentiellement la loge pré pectorale et la loge rétropectorale.
Où placer la prothèse ?
En passant par les incisions, les implants mammaires peuvent alors être introduits dans une loge qui peut être réalisée :
En avant du muscle pectoral (loge prépectorale)
En avant du muscle pectoral, (ou prémusculaire) : les prothèses mammaires sont installées directement derrière la glande, en avant des muscles pectoraux.
En arrière du muscle pectoral (loge rétropectorale)
Derrière le muscle pectoral (ou rétro musculaire) : les prothèses sont disposées plus profondément, derrière le muscle pectoral. Ce positionnement est beaucoup plus utilisé chez les femmes minces car le muscle recouvre la prothèse ce qui donne une augmentation mammaire avec un décolleté plus naturel et dissimule mieux les contours de l’implant, en particulier au niveau du décolleté.
Plusieurs théories expliquent comment déterminer le meilleur emplacement de la prothèse et les informations données sont le plus souvent contradictoires, source d’une inquiétude légitime! En effet, le choix de l’endroit où placer la prothèse pour une augmentation mammaire est influencé par de nombreux facteurs tels que : volume de la glande mammaire, activité sportive importante, souhait de la patiente, habitudes du chirurgien …
Heureusement une technique performante et bien établie a permis de simplifier cette question : Une augmentation mammaire avec positionnement en dual plan permet de bénéficier des avantages des différentes techniques tout en minimisant leurs inconvénients.
En dual plan la prothèse est positionnée derrière le muscle dans sa partie haute et derrière la glande dans sa partie basse. Ceci permet d’obtenir une augmentation mammaire avec un décolleté plus naturel sans pour autant brider l’implant et l’empêcher de bien remplir la partie inférieure du sein.
Comment choisir ses prothèses ?
Chaque patiente est unique : le choix des prothèses mammaires doit être sur-mesure et proportionnel à chaque patiente. La consultation avec un chirurgien est nécessaire, car ce dernier a le devoir d’informations à l’égard des patientes. Le docteur Franck Jorquera, expert dans l’augmentation mammaire à Montpellier, vous propose des technologies de pointe avec notamment la consultation Crisalix 4D qui utilise la réalité augmentée pour les augmentations mammaires !
Car il est important de concilier les impératifs morphologiques avec les souhaits de la patiente.
De façon schématique il faut retenir que l’épaisseur des tissus (peau et glande mammaire) est un élément clé pour le choix de la position de l’implant. Celle-ci est mesuré en consultation (le « pinch test ») : au-delà de 3cm d’épaisseur, l’augmentation mammaire en position rétro-glandulaire peut être utilisée car la couverture tissulaire sera suffisante pour dissimuler suffisamment l’implant. En dessous de 3 cm c’est le positionnement en « dual plan » qui est la préférence du docteur Jocquera.
Choisir le volume de ses prothèses mammaire
Le volume de la prothèse mammaire choisie tient compte de votre morphologie et de votre souhait. Pour ces raisons, lors de la consultation préopératoire, le Docteur Franck Jorquera pratique de multiples mesures morphologiques. En effet, ces mesures lui permettent de définir une « prothèse idéale » qui correspond le mieux à votre morphologie. Puis, le docteur vous fait essayer cette prothèse idéale à l’aide d’un soutien-gorge simulateur spécialement conçu pour cela. Le volume est ensuite réétudié après cet essai afin qu’il puisse correspondre au mieux à votre souhait.
Suites d’une augmentation mammaire par prothèses
Elles varient d’une personne à l’autre et dépendent de plusieurs facteurs (type de chirurgie, taille de l’implant, volume, positionnement en avant et en arrière du muscle pectoral, lifting mammaire associé). Cependant, les prothèses mammaires placées dans le cadre de cette chirurgie esthétique entraînent quelques douleurs ( crampes) dont la gestion est beaucoup plus importante.
- Le soutien-gorge de contention : Il est nécessaire de le porter 4 à 6 semaines jour et nuit. Durant les premiers jours, un œdème normal va apparaître et va augmenter le volume de vos seins : Il est alors possible de le desserrer pour soulager un peu la tension. Si votre augmentation mammaire a été réalisée avec des prothèses anatomiques, il est conseillé d’éviter les activités sportives durant 2 mois, pour diminuer le risque de rotation des implants mammaires.
- Les soins de la cicatrice : Les pansements résistent à l’eau : Il est donc possible de se coucher dès le lendemain. Il n’y a habituellement rien de particulier à réaliser et les consignes vous seront données par le docteur Franck Jorquera avant la sortie.
- Les douleurs : Celles-ci varient d’une patiente à l’autre. De nombreuses techniques sont utilisées avant, pendant et après l’intervention chirurgicale pour soulager les douleurs au mieux. Il existe deux facteurs qui influencent l’intensité des douleurs. Il s’agit du volume des implants et leur positionnement rétro-musculaire (derrière le muscle pectoral). La douleur est de type crampe musculaire qui dure entre 1 et 3 jours le plus souvent. Bien gérer la douleur après l’intervention est capital, et des consignes claires et précises vous seront données avant la sortie.L’augmentation mammaire n’est pas prise en charge par la sécurité sociale.
- L’œdème : Celui-ci augmente durant les 2 et 3 premiers jours, se stabilise ensuite pour enfin se réduire progressivement. A 4 semaines, on peut estimer que le volume mammaire est stabilisé. Mais il faut attendre le 3ème mois pour que les seins deviennent souples. La forme se fera progressivement voir durant la première année.
- Le travail : Une fois la prothèse mammaire mise en place, il est recommandé de ménager 5 à 7 jours après l’intervention chirurgicale pour pouvoir récupérer et reprendre vos activités professionnelles dans de bonnes conditions.
- Les consultations postopératoires : Après la mise en place des prothèses mammaires, plusieurs consultations de surveillance sont nécessaires chez le spécialiste de la chirurgie esthétique, le plus souvent à 1 semaine, 3 mois puis tous les ans.
